Montage
Emmanuel Riviere
Bloop
2013
72 x 59 x 74 cm
résine
Samuel Aligand
Jonction
Jérémy Berton (suite)
Simon Nicaise
Caroline Kennerson (suite)
Diadji Diop
"Il est des sculptures qui s'érigent pour mieux affirmer. Celle-ci est immergée pour mieux questionner. Et le questionnement commence par le paradoxe : l'homme est enterré, mais il esquisse un geste; son corps est enseveli mais tout en lui appelle la vie. Que pousse-t-il si ce n'est le vide ? Pourquoi cet effort s'il s'appuie sur le néant ? L'homme accouche-t-il de l'œuvre, ou l'œuvre donne-t-elle sens à l'homme ? La forme n'épuise pas le sens, elle en creuse seulement les contours." Diadji Diop
Olivier Soulerin
Hors d’œuvres
Antipasti antipatio
Mise en boucle
Soizic Stokvis
Maquette
Olivier Alibert
"Mon projet pour Hors d’œuvres se concentre sur l’installation, entre deux arbres, d’un grand plateau sur pieds (2,07x 2,8 m) dans une partie du jardin, derrière la maison. Sur ce « socle », seront posés des sculptures de formes variées, réalisées pour la plupart à partir de chutes de bois ou d’éléments récupérés, différents objets et matières diverses, le tout peint en noir dans des nuances et qualités de surfaces différentes (lisse/rugueux; mat/satiné/brillant). Une corde-sando noire, signe d’une tension latente, fait le tour du jardin sur trois côtés de la maison, créant un parcours pour le visiteur et redoublant le caractère événementiel ou performatif du projet. " Olivier Alibert.
Pierre-Alexandre Remy
îlesenpli
Le deversement picton
Caroline Kennerson
Maquette du projet
Matériaux
Sophie Truant
Etreinte, techniques mixtes, 21x 29,7cm, 2013
Etreinte, techniques mixtes, 21x 29,7cm, 2013
Etreinte, techniques mixtes, 21x 29,7cm, 2013
Sans titre, 86 cm x 46 cm, 2013
Entièrement constitué de moulages de moules à gâteaux de gourmandises décoratives.
© Anthony Girardi
Jérémy Berton
Maquette du projet Lacrimosa
LACRIMOSA
La sculpture que je réaliserais pour le parcours "Hors d’œuvres" sera composée d’une succession d’éléments de forme identique dont l’échelle augmente en formant une demi-arche du mur vers le sol. Il s’agit d’une forme évoquant la goutte d’eau, ronde à la base et s’étirant en pointe. La répétition de la forme et sa croissance évoque un écoulement, comme une fuite passant à travers le mur.
Simple fuite d’eau ou fontaine larmoyante, la pièce vient de la rencontre du vocabulaire des contes et du manga. La sculpture, image figée, évoque le mouvement d’un écoulement dont on ne connaît pas la source. La tristesse des larmes tranche avec le caractère absurde de cette arche. Son installation en extérieur pourra, avec humour, évoquer l’arrosage des plantes. La sculpture sera réalisée en résine acrylique bleue, teintée dans la masse, dont l’échelle sera à priori celle du corps : 160 cm de hauteur par 110 cm environ de largeur. Celle-ci posera contre un mur et au sol. Elle nécessitera donc impérativement une surface de mur disponible ainsi qu’un bout de sol stable en contrebas. Terrasse ou gazon, peu importe, la sculpture sera lestée à la base pour être stabilisée, la pointe à l’autre bout posera simplement contre le mur.
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