HERE AND NOW
Performance par le groupe GRNX
-Stéphane Maurin : guitare électrique
-Lambert Combes : Karlax et autres instruments numériques
Durée 20mn
GRNX se produira à deux reprises le temps du week-end Hors d'oeuvres.
Une proposition du Conservatoire de musique, de danse et de théâtre des Portes de l'Essonne.
Présentation
GrnX 1
est une formation musicale à géométrie multiple qui se propose
d’investir de nouveaux espaces pour la musique.
Les membres de GrnX
construisent un moment musical en fonction du lieu de diffusion, son
atmosphère, et son contexte. Proposée et partagée avec l’assemblée, la musique
se réinvente au contact de l’environnement : ici et maintenant.
GrnX veut effacer
les conventions bipolaires du spectacle traditionnel. Dans la
disposition, comme dans le jeu, les musiciens cherchent à créer une intimité
avec le public et à ouvrir le mur entre ceux qui écoutent et ceux qui jouent.
GrnX puise son
inspiration autant dans un état intérieur que dans une situation
extérieure : un lieu, un mot, un geste, une image, un son, un événement…
et la musique se réinvente dans l’instant.
Mais GrnX veut
aussi aller plus loin en invitant le public à participer au jeu, parfois même
malgré lui.
Une approche
musicale qui se situerait quelque part entre John Cage et Bobby Mc
Ferrin : une musique libre comme l’instant qui passe.
Danse
IN
BETWEEN / ENTRE DEUX
De Flávia
Tápias
Cie
Grupo Tápias
Interprètes: Flàvia Tápias … et autre danseur
Présentation
Dans cette pièce, Flávia Tápias explore la relation de
l’entre-deux, entre deux arts, deux espaces, entre le public et les
interprètes. Qu’est ce qui a été construit avant, il y a longtemps et qu’est ce
que l’on distingue de cette époque ? Qu’est ce qui est perceptible ?
ou pas !
Pour répondre à ces questions, Flávia Tápias souhaite créer
un véritable partenariat avec les artistes afin de travailler à l’intérieur du
thème et de l’espace.
De cette façon sera rendu visible les relations entre les
interprètes, les arts, les mouvements et les arts visuels.
L’improvisation sera un outil contrôlé qui permet l’introduction d’un élément de hasard qui dans la recherche nous intéresse comme une fracture dans le travail.
La fêlure qu’induit le hasard dans les possibilités
traditionnelles du corps ouvre un nouveau vocabulaire chorégraphique, un
entre-deux du mouvement qui n’est que peu exploré ; c’est la piste d’une
vie régénérée dans une nouvelle
recherche.
Permettre au corps sur scène de trouver une nouvelle image
charnelle permet de dépasser les changements et de parvenir à une forme
organique qui se transforme en mouvements, en gestes. Les intersections entre
interprètes sont également actives par ce processus.
crédit photo: Alexandre Maia |
crédit photo; Alexandre Maia |
crédit photo: Alexandre Maia |
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